17 mai 2007
poème d'Aurélie
Mon amour adoré
J'ai été libéré
De ton doux portrait.
J'ai pleuré lorsque tu m'as annoncé,
Lors de notre dernière soirée,
Que tu ne m'avais jamais aimé!
Hier encore, j'admirais ta beauté.
Ton oxygène m'a inspiré.
J'ai retracé, assassiné et largué,
L'espoir de notre amour si déséquilibré.
Tu abritais la sincérité, et,
Tu savais que c'était une qualité.
La petite flamme qui dans mon coeur étincelait,
A renoncé, pour l'éternité, à s'allumer.
Aurélie (6ème jaune)
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